La chute de l'ange

La nuit était longue! Trop longue! Les clients étaient nombreux et je n'avais pas eut une seule minutes à moi. Je regardais les gens qui m'entourait sans vraiment les voir. Est-ce que j'avais trop forcé la dose? Non, je connais très bien mes limites et je ne les dépasse jamais avant d'être certaine que je serai capable d'endurée le choc. Ce n'est pas parce que ma vie à prit un chemin différent que celui que je m'étais tracer que ça voulait dire que j'envoyais tout mes principes chez le diable. Puisque je ne me produisais pas, j'avais pour ordre de faire le services aux tables, c'était payant mais franchement je préférais monté sur scène ça me donnait l'impression d'être beaucoup plus importante. Qu'est-ce qu'est la valeur d'une strip teaseuse? Souriante et d'une démarche assuré, je m'approchais d'une table ou il n'y avait aucun divertissement. C'est avec nonchalance que je me pris place sur les genoux d'un des hommes qui regardait le spectacle que donnait une de mes collègues. « Alors messieurs. Qu'est-ce qui pourrais vous faire plaisir? » C'est en plongeant mon regard dans celui du jeune homme eut j'eus un choc. C'était pas possible. L'embarra du se lire sur mon visage lorsque je desserrais mes bras autour de son cou. Était-ce bien Eric, LE Eric? Sa y est , la tête commençait vraiment à me tournée! Néanmoins, je gardais le petit sourire aguicheur qui allait si bien à mon personnage. Je n'allais certainement pas me laisser déstabiliser par cet homme qui n'arriverait certainement pas à me reconnaître tellement j'avais changer depuis les sept dernière années.

Je sentis mon cœur se serrer lorsqu'il dit mon prénom. Il m'avait reconnu trop facilement! Et dire que lorsque je me regardais le matin dans la glace j'arrivais rarement à reconnaître la personne qui se tenait devant moi. Ce que je faisais ici était pourtant bien assez évidant pour que je me permettre de ne pas lui répondre. Et je n'avais pas envie de jouer au retrouvailles avec ce beau jeune homme. Si je ne voulais pas me retrouver sans emplois je devais je devais être rentable et pour être rentable... vous connaissez la suite. Souriante et avec les idées quelques peu embrouillé par mes consommations , j'approchais mon visage de celui de l'homme en glissant deux doigts sous son menton. Lorsque mon nez frôla le sien, j'arrêtais d'avancer pour lui dire. «Ça c'est mon problème. » Un bisous chaste sur le bout du nez plus tard et je reprenais position initiale. Puisque je ne prenais jamais d'alcool sur mon lieu de travaille, je pouvais me permettre cette audace, j'avais confiance en mon haleine ! « Alors , comment puis-je vous satisfaire ce soir? Si vous aimez pas les blondes, il y a mon amie Levy, une belle brune au goût plutôt particulier qui pourrait certainement vous en faire voir de toute les couleurs, sans parler de notre sage petite Mary. » Tout en lui parlant, je lui caressais les cheveux sans le quitter des yeux. J'étais douée et il manquerait quelque chose en voulant une autre femme, mais si ma présence le perturbe trop aussi bien qu'il prenne le temps de jouer avec une autre. Parce que c'était bien ça non? Un jeu dans lequel je devais m'efforcer de continuer à sourire peut importe ce qui se passait autour de moi.

Il préférait les blondes. Voilà qui m'intéressait davantage! Souriante, je fis descendre ma main qui jouait dans ses cheveux pour la laisser glisser le long du bras de l'homme a fin de lui attraper la main. « Sage décision. » Sans dire un mot de plus, je me levais sans lui lâcher la main pour l'entraîner avec moi plus loin dans le bar ou se trouvait des pièces individuel pour les danses un peu plus … enfin vous savez.

Arriver dans la pièce, je le fis reculé de manière à ce qu'il soit forcer de prendre place sur une causeuse qui aurait pu être beaucoup confortable si le proprio avait décider de mettre plus d'argent lors de ses achats de meuble. Sensuelle et gourmande, je m'approchais de lui , m'assoyant devant lui, les fesses sur les talons. N'allez pas croire que je suis une pute! Je ne me suis jamais vendue au complet et c'est interdit de faire ce genre d'activité ici, bien que souvent certaines femmes accepte de faire plus pour un généreux bonus. Moi j'étais ici simplement pour danser, je refusais de tomber plus bas. Ça me faisait beaucoup trop peur! « Alors, qu'est-ce que je t'offres? » Il ne faut pas oublier que chaque danse à son prit, que le temps se paye, que la caresse se payer en extra et que plus d'une chanson se paye très cher!

Un large sourire se dessinait sur mon visage lorsqu'il me dit qu'il aimerait m'embrasser. Joueuse, je me relevais tout en suivant la courbe de son corps avec ma poitrine. Passant mes lèvres près des siennes je lui murmurais.. .«Il y a des règles à suivre, mais si tu es gentils, peut-être que t'aura le droit à un petit extra. » Rieuse, je m'éloignais de lui pour me rendre à l'endroit ou une radio était placer. Tout en regardant les CDs qui étaient à ma disposition, je ne pouvais m'empêcher de rougir, heureusement qu'il ne puisse pas me voir ! Qu'est-ce qui était en train de se passer ? Que faisait-il dans ce genre d'endroit ? Était-ce la première fois qu'il venait ? Bien sur, je ne pouvais pas savoir ce qu'il représentait dans ce bar puisque je ne l'avais jamais vu avant. Ce qui était plutôt curieux avec le poste qu'il a dans l'endroit... Revenons à nos moutons.

Un musique douces et Rythmer à la fois se fit entendre et c'était à mon tour de jouer ! Laissais délicatement descendre la '' robe de chambre'' de soie que je portais au sol, je me retournais vers lui prête à lui offrir un spectacle qu'il ne pourrait pas oublier. Sous le rythme de la musique, je laissais mon corps s'onduler de manière sensuelle jusqu'à ce que j'arrive près de lui. La tête me tournait de plus en plus et un mal de coeur commençait à se faire sentir. Question de camouflé mon malaise, je me penchais doucement vers lui pour lui offrir le baiser qu'il avait demander. Mes lèvres avaient a peine toucher les siennes que mon corps fut parcourue d'affreux tremblement. Tout s'effaçait devant moi...

J'avais mal et froid, mon corps avait décidé de bouger contre ma volonté. Je fixais l'homme sans vraiment le voir. Il semblait me parlait. Je n'y comprenait rien. Étendue sur le fauteuil, je fermais les yeux pour m'enfuir de mon corps, je n'avais pas la force d'enduré ce mal plus longtemps. Mes dents claquaient et j'étais certaine que j'allais y rester. Est-ce que c'était ça mon destin ? Le revoir et mourir dans les minutes suivantes ? Qu’est-ce que j'avais fais au seigneur pour qu'il me donnant tant de souffrance ?!

Au bout de moment, je pouvais sentir mon corps s'élever. En ouvrant les yeux, je vis une femme et un homme que je ne connaissais pas toucher mon corps. Que voulaient-ils. Paniqué.. «Eric» J'appelais la seule personne qui m'était familière et en qui je pourrai certainement faire confiance. L'homme passait une lumière affreuse au dessus de mes yeux. Ça eut le don de m'énerver. « Lâchez-moi!» En hurlant, je me débattrais contre mes agresseurs ! Mes gestes étaient faibles et ma voix était tout aussi molle, mais je ne pouvais pas finir ainsi. Je n'arrivais pas à comprendre qu'ils étaient présent pour m'aider. Eric réapparue dans mon champs de vision. Lorsqu'il prit ma main, je m'y agrippais comme s'il s'agissait du dernier réconfort qui me restait. De nouveau, se fut le noir total et direction l'hôpital.

Qu'est-ce que c'est que ce bruit ? Un petit son qui se répète sans arrêt et qui est sur le point de me rendre complètement dingue ? J'ouvris douloureusement les yeux. Ou est-ce que je suis ? Paniquée, j'essayais de me lever, mais mon corps était beaucoup trop lourd pour me permettre ce mouvement qui était pourtant si simple à réaliser. Qu'est-ce qui s'était passer hier et qui est-ce qui ronfle ?! C'est en tournant la tête et en apercevant le visage endormit d' Eric que la mémoire me revenue. J'étais en train de danser pour lui lorsqu'un malaise m'avait attaquer de plein fouet. Je n'avais tout de même pas ? ... Non ! C'est impossible ! Je ne peux pas avoir faire une overdose, celà voudrait dire que j'avais perdue le contrôle et je ne pouvais pas me permettre de perdre le contrôle ! C'est lorsque ce genre de chose arrive que c'est signe que la dépendance à prit le dessus sur votre volonté. Effrayer par l'idée, je me mis à pleuré sans arrivé à m'arrêter. Qu'est-ce que j'étais en train de devenir ? Avais-je vraiment si peu de confiance en moi ? Et Lui, qu'est-ce qu'il faisait ici ? ... Le mot patron résonnait dans ma tête.... Oh non, dans quel pétrin je m'avais mise encore une fois ? Les yeux fermés, je n'arrivais pas à détacher mon regard du visage endormit de ce vieil ami. Doucement, je me mis à l'appeler pour qu'il ouvre les yeux. « Eric.... Eric... S'il te plait...»

Lorsqu'il m'avait demander si j'avais soif, je fis signe que oui. Ma gorge était sèche, parler me faisait un peu mal. C'est après avoir prit une petite gorger du verre d'eau qu'avait offert Eric après ma réponse positive, que je pris de nouveau la parole. Ma tête me faisais atrocement mal. « C'était si soudain, je pensais tout contrôlé.» Des larmes me montaient aux yeux, mais je réussis à les chasser avant qu'elle n'embrasse mes joues. J'avais honte de moi, mais j'étais trop orgueilleuse pour le dire à voix haute.

Je ne pouvais détacher mon regard du visage d' Eric. Que faisait-il toujours ici ? Le rouge de l'embarra me montait aux joues. N'avait-il pas dit qu'il était mon patron ? Je savais que ce vieux pervers qui avait la gérance du bar avait plusieurs partenaire mais de la à imaginer Eric comme étant l'un d'eux... Qui était vraiment cet homme? « Alors, patron... Est-ce que j'ai encore mon job ? »

Maintenant les larmes coulaient et je n'arrivais plus à les arrêtés. C'est bien toujours ce que j'ai fais.. croire contrôler quelques chose sur laquelle je n'avais aucun putain de contrôle. Lorsqu'il prit place sur le lit, je me tassait un peu comme si j'avais peur de le toucher, mais sans bouger de manière vive. J'avais trop mal à la tête pour ça. Il disait qu'il préférait que je n'aille plus travailler ? Je ne pouvais pas me permettre de perdre mon boulot et c'est le seul soulagement que je trouvais au bout de cette histoire. Et encore... « Je suis heureuse de l'entendre.» Le regard dans le vide, je laissais mes larmes silencieuse embrasser mes joues, combien est-ce que cette erreur allait me couté ? Je n'ai pas d'assurance ! Cette intervention allait me coûté tout l'argent que j'avais mit de coté pour retourner au étude, parce que oui, je caressais toujours ce rêve d'un jour pouvoir obtenir mon diplôme et quitter cet enfer ! Après avoir reprit le contrôle de mes émotions, je pris de nouveau la parole, gêné comme si ce que j'allais lui demander était immense et inconcevable. « Si tu n'es pas mon patron...est-ce que .... est-ce que je peux te demander de t'étendre avec moi et de me prendre dans tes bras ? ... Je.... » Je me mordillais la lèvre. Je me sentais seule, j'avais besoin d'une présence réconfortante et en ce moment, Eric était ce qui se rapprochait le plus d'un ami. « TU n'es pas obligé d'accepté si tu ne veux pas... je comprendrais.»

« Tu as prit en charge mes frais médicaux ? »
Je le dévisageais tout en cherchant à comprendre ce qui avait bien pu lui passer par la tête. Pourquoi faisait-il tout ça ? Comme je n'avais pas envie de me prendre la tête avec lui, pas ici , pas maintenant, je ne relevais pas cette information. Je trouverai bien un moyen de lui rendre son argent. Doucement, il prit place près de moi, je me blottis contre lu à la recherche de la chaleur de son corps. Les yeux fermés, je savourais l'odeur de son parfum tout en laissant ce contact m'engourdir.
« Arrête d'avoir l'aire mal à l'aise. C'est moi qui soit la camé sans avenir, pas toi.»
J'enfouis mon visage dans son chandail comme s'il s'agissait de ma bouée de sauvetage. Je ne voulais pas qu'il parte et je trouvais déstabilisant de le savoir si mal. Pour une fois depuis très longtemps, la seule chose que je voulais était de me sentir bien. Rien de plus , rien de moins, mais il n'arrêtait pas de parler. Il disait des choses que je ne comprenais pas et que je ne voulais pas me casser la tête à comprendre.
« Je ne penses pas de mauvaise chose de toi, au contraire... De quoi sembles-tu avoir peur ? Dit moi, qui es-tu Eric?

Lorsqu'il me dit de le serré moins fort, je pris soin de m'éloigner un peu de lui sans nécessairement couper le contact. Les yeux fermés, je l'écoutais parler sans vraiment enregistré ce qu'il me disait. Ma tête me faisait mal et mon corps était lourd. Même si je l'aurai voulu, je n'aurais certainement pas pu lui parler d'avantage. C'est donc d'une voix endormit que je pris le temps de lui répondre.

«Ce n'est tout de même pas toi qui m'a offert mes doses. Nous avons tous note propre moyen de survivre dans ce monde de fou...»

Je me mis à bailler tout en me blottissant un peu plus dans la mince couverture que l'hôpital avait mise dans mon lit. Il faisait si froid. Je réussis à trouver la force d'ouvrir les yeux le temps de vérifier que ma main était bel et bien en train de trembler. Tout en serrant mon poing pour ne pas laisser paraître le manque qui commençait à se faire sentir... je fermais les yeux pour m'endormir doucement dans les bras de ce jeune homme qui était tout sauf mauvaise à mes yeux.

«Ah tiens, Eric... Qu'est-ce que tu ..... ? »
Je sentis mon corps se soulever du sol d'un coup ! Bang, je me retrouvais violemment projeté sur l'épaule de mon prince maudit. Qu'il était dure avec moi ! Je me débattais en lui disant que je pouvais marcher ! Il n'avait pas à jouer à la brute avec moi, s'il voulait un câlin il pouvait le demander de manière moins brusque ! Les hommes ne sont pas tous sortis des cavernes! Et ce ne fut pas plus doux lorsqu'il me mit sur la banquette arrière de ça voiture.
«Ça a un mot ce que tu fais ! Enlèvement! T'as pas le droit de faire ça!»
Je voulu sortir de la voiture, mais il était trop tard et franchement, j'en avais pas le force. Je me contentais donc de lui faire la tête jusqu'à ce que le monde des rêves m'emprisonne.

«Saleté de lumières.» En gémissant je me tournais sur le coté pour ne pas avoir le soleil dans les yeux. Il était quel heure ? J'ouvris les yeux avec peine pour me rendre compte que je n'étais pas dans ma chambre. Eric m'avait bel et bien embarquer ! Ce fois j'avais été sage, il n'avait pas le droit de me prendre comme ça ! Enrager, mais aussi attendrit par l'attention qu'il me portait. Je quittais la chambre bien enrouler dans mon peignoir de danseuse. Je le retrouvais dans le salon en train de faire je ne sais trop quoi.. Il m'avait enlever et j'avais de la misère à accepté cette situation.

«Voudrais-tu bien me dire ce qui t'as passer par la tête ! Regarde-moi lorsque je parles!»
Finalement je n'aurai pas du lui demander de me regarder. Lorsqu'il plongea son regard dans le mien je sentis mes joues s'empourprer.
«- Je.. humm... Tu sais que j'ai besoin de ce boulot.... Je ne roule pas sur l'or, moi !»

«Wohh..»
Je me reculais pour mettre une distance raisonnable entre lui et moi. Qu'est-ce qu'il était en train de me raconter là ! Il n'allait pas me forcé une désyntox en plus de me faire perdre mon boulot ! J'en ai besoin de cette argent ! Bien sur ce gosse de riche n'a jamais connu le manque d'argent ! Tout en me mordant la lèvre, je dévisageais Eric. Je devais rester calme et ne pas lui sauté à la figure ! Je ne suis pas méchante, mais je n'aimais pas ce qu'il me disait... pire encore, je ne pouvais pas aimer l'idée que je pourrais être en manque sévère d'ici quelques heures.
«Tu n'as pas le droit de me faire ça....Penses-tu vraiment que je pourrais venir vivre ici ... avec toi ? C'est bien le temps de jouer au bon samaritain, mais après, penses-y ! Et je ne pourrais jamais retourner au étude... je te l'ai dit ! Ils m'ont mit à la porte parce que je n'arrivais pas à payer mes cours et à rendre de bonne note ! J'ai choisis un autre domaine dans lequel je suis douée...C'est si dure que ça de me laisser vendre mon cul sans juger mon mode de vie ? Pourtant, je ne t'ai jamais reprocher de fournir les jeunes de la ville en narcotique ! »
J'y étais allée trop fort et je m'en voulais...
« Je.. Je suis désolé... »
maintenant je commençais à me sentir mal dans ma peau... mes genoux commençait à faiblir et j'avais une folle envie de le frapper et de l'embrasser en même temps pour tout ce qu'il semblait près à endurer pour m'aider.

Ça y est ! Il réussit à me faire pleuré une nouvelle fois. Pourquoi lorsque je le regarde je me sens toujours aussi impuissante et faible ? Lorsque je le vois je me rappelle qui j'étais et quel était mes valeurs dans le temps. Lorsque je me vois dans ses yeux, je revois cruellement la jeune femme ambitieuse et timide que j'étais. Mal dans ma peau, je tournais les talons pour me rendre dans la chambre que j'avais quitté un peu plus tôt. Je n'avais pas faim, je.... Je ne savais pas ce que je voulais exactement, mais je savais que je ne pouvais garder les vêtements aguicheur que je portais toujours ! Soit , une robe de chambre de satin rose et une déshabiller très sexy rose et noir. Rendons la douce Angel plus sombre avec un peu de noir et des couleurs enfantines. Bien sur, dans cette chambre je n'avais rien à porter. Je me mis donc à chercher la chambre d'Eric. J'étais toujours enrager, mais cette fois contre moi ! Je du repasser dans le champs de vision de l'homme pour trouver la chambre de l'homme a fin de trouver des vêtements plus respectable. J'attrapais une chemise et ce qui pouvais ressembler à un pantalon de ville. Bien sur, tout était trop grand pour moi ! J'en avais rien à faire, je voulais simplement me couvrir et avoir l'aire beaucoup moins pute. Une fois plus à mon aise, je me rendis dans la cuisine ou Eric se faisait à manger.

-Tu sais que si tu me gardes ici ça ne sera pas facile à tout moment...tu es sur de ce que tu fais Eric?

Mes mains tremblait déjà ! Je croisais donc mes bras pour ne pas qu'il les voit. Je ne suis pas en situation de manque, mais ça ne devrait pas tarder.

-Je vais devenir folle si je n'ai rien...